Il est impossible de répondre précisément à cette question. Nous fonctionnons avec une liste d’attente. Le délai sera donc variable (en fonction du nombre de personnes avant vous, en fonction des places disponibles chez les travailleurs,…).
Non. Nous pouvons venir vous rencontrer, à votre demande, sur le lieu de cure / d’hospitalisation. Cap Fly accorde une grande importance au maintien du lien avec les bénéficiaires et vous soutient dans vos démarches.
Oui. Vous devez vous adresser au service social. Ils évalueront la pertinence de l’accompagnement (nous n’acceptons pas de servir uniquement de taxi), prépareront et pourront vous accompagner dans cette démarche extérieure.
Oui. Cap Fly propose un soutien psychologique individuel à l’entourage des personnes consommatrices d’héroïne et/ou de cocaïne. Il n’est pas obligatoire que le suivi se déroule sur plusieurs séances. Vous pouvez venir une fois rencontrer un psychologue qui essayera de répondre à toutes vos questions.
Non. Un de nos critères d’admission est d’être majeur. Néanmoins, nous pouvons vous orienter vers d’autres structures.
Oui, vous pouvez bénéficier des services du centre. Nous réalisons, si besoin, les attestations de présence.
Un changement de référent est toujours réalisable (dans les limites du possible). Vous devez en faire la demande auprès du service social. Celle-ci devra être motivée (par exemple : on ne change pas de référent parce qu’on veut plus de médicaments) et elle sera ensuite analysée en réunion.
Non. L’équipe de Cap Fly a décidé de ne pas faire ce genre d’analyse. Notre travail se situe dans l’aide et le soin et non dans le contrôle.
Non ! Vous devez d’abord réaliser une admission
Non, il n’existe pas de traitement de substitution pour la cocaïne. Cependant, des traitements médicamenteux et un suivi psychologue peuvent aider l’usager qui le souhaite.
Vous pouvez trouver du matériel d’injection dans les lieux suivants :
N’hésitez pas à contacter le service pour plus d’informations.
Non, mais l’héroïne peut engendrer une dépendance forte et relativement rapide. Cette dépendance physique et psychologique survient bien souvent avant que l’usager ne s’en rende compte.
Oui. Des traitements de substitution existent. La méthadone est le plus connu mais n’est pas le seul médicament employé dans le cadre des traitements de substitution aux opiacés. Ainsi, la buprénorphine à haut dosage (Subutex et Suboxone) est également disponible. Les indications, les modes d’emploi et les risques du Subutex et du Suboxone diffèrent de ceux de la méthadone.
Pour pouvoir suivre le traitement, il suffit d’être en ordre de mutuelle. Il est pris en charge intégralement.
Contrairement à l’hépatite A et B, il n’existe pas de vaccin pour l’hépatite C. Par contre, un traitement existe.
Les nouveaux traitements permettent de guérir de l’hépatite C. Ils sont plus efficaces (taux de guérison > 95 %), plus rapides (8 à 12 semaines) et ils ont très peu d’effets secondaires. Ils sont accessibles pour tous, quel que soit le stade de la maladie.
Après la guérison, il n’y plus de risque de transmettre le virus mais vous n’êtes pas protégés contre une nouvelle contamination.
Le virus de l’hépatite C se transmet par le sang.
Ce virus est très coriace : il peut survivre plusieurs semaines à l’air libre.
L’injection reste la pratique la plus à risque mais elle n’est pas la seule.
Voici quelques modes de transmission : contact sang-sang, partage du matériel d’injection, partage de pailles de sniff, partage d’objet personnels (rasoir, coupe-ongles, brosse à dents), relation sexuelle non protégée, tatouage, piercing,…